Mardi 4 : Réveil ensoleillé et la route débute
sous le soleil et de belles couleurs
30 km plus loin, les camions et les bus s'entassent les uns derrière les autres.
Un accident ? Un contrôle ?
A l'imitation des véhicules particuliers boliviens, nous remontons la colonne sur 4 km avant d'être définitivement arrêté.
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La barricade |
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La télé sur les lieux |
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Ni la poussière, ni la boue, ni la rouille n'entrave la quête de l'ombre |
Il ne nous reste plus qu'à « esperar » (attendre). Par chance un soudeur a pignon sur rue. Nous rejoignons donc son atelier pour réparation de la galerie, échange de rivets, etc...
11h30 : repas en attendant que …. puis départ en reconnaissance.
La manifestation et le blocage sont organisés par les jeunes étudiants qui attendent depuis plus de trois ans la faculté promise par le recteur.
Les réponses à nos questions laissent penser que cela va durer.
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Motos taxi prêtes à assurer le relais vers la ville après bloquéo |
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Ombre et hamac, le pied ! |
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Le soutien |
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ou la curiosité ? |
Heureusement, nous avons pu partager une bonne partie de l'après midi avec les étudiantes infirmières (5 ans d'étude) et même jouer aux échecs, échanger nos adresses email et leur offrir toutes les photos de notre visite « chiquitania » et des missions qu'elles ne connaissaient pas.
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Echecs |
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et explications. |
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Trois de nos geôlières ... |
19h00 : La nuit est tombé et rien n'a changé.
Santa Cruz … ce sera peut être pour
demain !
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