jeudi 6 juin 2013

Hallali


Mardi 4 : Réveil ensoleillé et la route débute sous le soleil et de belles couleurs



30 km plus loin, les camions et les bus s'entassent les uns derrière les autres.
Un accident ? Un contrôle ?

A l'imitation des véhicules particuliers boliviens, nous remontons la colonne sur 4 km avant d'être définitivement arrêté.

La barricade

La télé sur les lieux

Ni la poussière, ni la boue, ni la rouille n'entrave la quête de l'ombre




Il ne nous reste plus qu'à « esperar » (attendre). Par chance un soudeur a pignon sur rue. Nous rejoignons donc son atelier pour réparation de la galerie, échange de rivets, etc...

2h00 plus tard et allégés de 50 bolivianos, nous reprenons la route pour une trentaine de mètres et une position tactique intéressante en cas de réouverture de la route.

Le piquet de grève à l'ombre

La logistique ou la vie continue...

Humains et animaux exploitent le moindre ombrage




















11h30 : repas en attendant que …. puis départ en reconnaissance.

La manifestation et le blocage sont organisés par les jeunes étudiants qui attendent depuis plus de trois ans la faculté promise par le recteur.

Les réponses à nos questions laissent penser que cela va durer.

Motos taxi prêtes à assurer le relais vers la ville après bloquéo

Ombre et hamac, le pied !

Le soutien

ou la curiosité ?


Heureusement, nous avons pu partager une bonne partie de l'après midi avec les étudiantes infirmières (5 ans d'étude) et même jouer aux échecs, échanger nos adresses email et leur offrir toutes les photos de notre visite « chiquitania » et des missions qu'elles ne connaissaient pas.

Echecs

et explications.

Trois de nos geôlières ...





















19h00 : La nuit est tombé et rien n'a changé.

Santa Cruz … ce sera peut être pour demain !

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