27 décembre
C'est vers 10h30 que nous prenons la
route direction Vina del Mar, Los Andes et l'Argentine.
Le passage par le Paso Libertadore se
caractérise par le fait que la route est presque toute entière
située dans un couloir d'avalanches,
... avant d'arriver au tunnel del Cristo Redentor.
Quelques km après le tunnel, nous
arrivons en Argentine .
De ce côté-ci, c'est la ligne de chemin de fer, aujourd'hui abandonnée, que les hommes ont essayé de protéger de la neige
De ce côté-ci, c'est la ligne de chemin de fer, aujourd'hui abandonnée, que les hommes ont essayé de protéger de la neige
Puis la vallée, traversée par la Ruta
7, s'ouvre devant nous...
... jusqu'à ce qu'une fenêtre s'ouvre à
gauche sur l'Aconcagua, toit de l'Amérique du Sud (6962 m), encore
et toujours enneigé.
La descente se poursuit,
28 décembre,
Après séparation, nous prenons la route de Mendoza par la route provinciale 52.
L'Aconcagua domine en maître
Puis la descente reprend,
jusqu'à atteindre le poste frontière bi-national.
Immédiatement après, nous atteignons la localité El Puente del Inca
La descente se poursuit,
et c'est vers 20h00 que nous trouvons notre bivouac au bors du Rio Mendoza.
Il y a à peine une demie-heure que nous roulons, quand nous retrouvons nos courageux cyclistes
Pour eux aussi la journée commence et malgré les crèmes anti UV, les morsures du soleil sont déjà visibles.
Chaleur, zones arides sont au menu.
L'Aconcagua domine en maître
La montée se poursuit
jusqu'à atteindre le col à presque
3000m,
où nous préparons une banderole
d'accueil pour nos cyclotouristes qui devraient arriver dans deux ou
trois heures.
La descente sur Mendoza est assez
spectaculaire.
La ville quant à elle, du fait de
tremblements de terre,offre une architecture moderne, des boulevards
ombragés, des jardins et des pièces d'eau.
Particularité amusante, la place de l'Indépendance et ses jets d'eau reçoit en opposition le « paseo » Etat d'Israël
et le « paseo » Arabie
Saoudite
Est ce pour une éventuelle poignée de
main comme sur le drapeau argentin original ?
Après quelques heures, alors que la
température avoisine les 40° à l'ombre en plein courant d'air,
nous nous extirpons de la cité pour trouver un bivouac.
Ce sera chose faite en pleine Pampa
après 1h30 de route, même si la chaleur persiste et signe.
