mercredi 10 juillet 2013

Anne, ma soeur Anne ...

Mercredi 10/07 :

Grâce à internet, nous savons qu'il y a en príncipe 3 vols par jour  Lima - Puno, que la durée du vol est d'une heure quarante et qu'il y a 2 compagnies sur la ligne.
Forts de ces renseignements et ne voyant pas de véhicule estampillé DHL, nous contactons une fois de plus Lima (merci Skype).
Pas de certitude du fait de la mauvaise qualité de la communication mais nous pensons avoir compris que la livraison serait pour demain.

De fait,, nous voilà une fois de plus en mission exploratoire. Objectif non avoué à Sylvie, atteindre le condor.





Après avoir avalé un dénivelé d'une centaine de mètres, nous voilà au pied de l'escalier qui grimpe vers le belvédère du condor.

Condor, où es tu ?

Cherchez le condor !


645 marches au programme (je les ai comptées en redescendant) mais la balade vaut le coup même si, avec l'altitude, c'est un peu exigent.





Quel promontoire pour s'écrier : Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir ?
Le soleil était là, la ville flamboyait mais pas d'avion, ni de DHL à l'horizon.



Etait-ce une raison suffisante pour faire le con(dor) ?






















La descente permet de mieux respirer et d'apprécier Puno malgré les 40 voleurs.







mardi 9 juillet 2013

Lueur d'espoir.


Mardi 9 juillet : Puno.


Nous terminons aujourd'hui notre onzième jour à Puno. Ce matin, nous avons réussi à faire un virement bancaire à DHL Lima pour payer les droits et les frais de douane et maintenant que tous les feux sont au vert, il ne nous reste plus qu'à attendre encore et toujours. ESPERAR.


Heureusement, la disponibilité de notre chambre d'hôtel n'est pas menacée, le land dort dans un parking fermé et gardé, le petit café bleu et jaune (casa del corregidor) nous accueille presque tous les midis et la gargote de restauration rapide voisine de l'hôtel tous les soirs.

Les quelques manquements nous ont permis de faire le tour de presque tous les restaurants touristiques de la rue de Lima ou de boui boui au demeurant sympathiques.


Malgré ces conditions de vie agréables, nous rongeons un peu notre frein et attendons le colis salvateur qui ne devrait plus tarder. Pas le moment de le louper et de se retrouver avec un avis de passage si cela existe car Sylvie ne le supporterait pas.


Le rachat d'un pc nous permet donc de rependre un peu le moral en communiquant avec la famille et les amis. Je sais l'avoir déjà écrit ou pensé mais je n'hésite pas à vous le redire merci pour vos témoignages de soutien.


En ce moment la température oscille entre -4 la nuit et +10 la journée mais il fait bon au soleil.

Ici comme ailleurs, ni chauffage ni isolation mais vous savez maintenant comment on vit ici

Les manifestations de rues se poursuivent au rythme d'une par jour tant est si bien que les boucliers anti-émeutes font partie intégrante du paysage.

Renfort si les boucliers sont insuffisants

Néanmoins, nous sommes repartis explorer la ville pour vous la faire apprécier sans les coups de klaxon, les voleurs et la chasse aux piétons menée par tout ce qui roule.


Vers el cerrito de Huajsapata, (Ça grimpe !)





Manco Capac, le premier chef inca, Puno et le lac Titicaca (Devinez les Uros entre presqu'île et nuages)
  


Le même de face et Sylvie et mon petit doigt



Puno



Le musée Carlos Dreyer, la Casa del Corregidor, la Policia turística y nacional



La rue de Lima, seule voie piétonne.


Plaza Parque Pino

San Julian . Sanctuaire de Notre Dame de la Chandeleur



Collège


Local associatif. Nous espèrons ne pas être là pour son centenaire,



et encore moins pour la fête nationale du 28 juillet.