11 décembre,
Au réveil, nous prenons la décision de
remonter vers le nord par les route secondaires et la côte pacifique.
Ainsi, après quelques emplettes à San Jose de la Mariquina , nous
obliquons vers l'ouest pour retrouver le Pacifique au niveau de Mehuin.
C'est à se demander s'il existe un moment dans l'année où l'on peut profiter de la plage, d'autant que les panneaux « neblina » (brume, brouillard) et « tsunami » sont très fréquents.
Bien que plusieurs mois se soient écoulés et que l'été soit proche, nous sommes étonnés de trouver nébulosité, vent et mer agitée.
C'est à se demander s'il existe un moment dans l'année où l'on peut profiter de la plage, d'autant que les panneaux « neblina » (brume, brouillard) et « tsunami » sont très fréquents.
En poursuivant vers le nord, la route s'écarte de l'océan et traverse à nouveau des paysages agricoles peuplés d'ovins, bovins et porcins. Aux zones marécageuses s'opposent les zones boisées artificiellement, pour la production (eucalyptus et conifères).
Après un repas pris dans un petit village, pour 9 euros (deux couverts + boissons), nous reprenons la route et apercevons au loin le volcan Choshuenco.
Foule et circulation ne nous incitent pas à
nous y attarder, d'autant que stationnements et arrêts sont prohibés dans toute
l'agglomération hors parkings payants.
Difficile pour nous en effet, de choisir un
lieu de stationnement sans connaître la position des points d'intérêt de la
ville ou de parcourir des dizaines de km à pieds pendant que l'horodateur nous
aurait préparé une facture des plus
salées, les prix pratiqués ici étant supérieurs à ceux de Valdivia (15€ pour 4
heures).
Notre fuite nous conduit à Chol Chol, où nous
trouvons refuge au bord du fleuve.