Dès la sortie de la ville, la surprise est réelle. Une route correctement asphaltée nous permet d'avaler les kilomètres alors que nous avions parcouru 40 km en 1heure en 2003.
Après une centaine de km, la latérite reprend ses droits et les souvenirs remontent à la surface.
La forêt primaire, bien que malmenée, livre par-ci par-là, ses derniers combats.
La route se poursuit sans que rivière ou crique ne puissent l'empêcher
Même le soleil se met de la partie et nous atteignons Calçoene.
Le lendemain, ce sont les retrouvailles avec l'équateur à Macapa et l'Amazone, fleuve mythique, qui nous barre désormais la route.
Le monument du point "zéro" |
La ligne de l'équateur matérialisée au sol sous le monument |
L'avenue de l'équateur dans le prolongement de la ligne |
L'Amazone à marée basse : Foot et baignades côtoient transports lourds |
A marée haute, le transport profite des hauts fonds |
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