mardi 28 mai 2013

Bolivie enfin mais Chaco toujours.




Vous l'aurez compris, nous sommes enfin arrivés en Bolivie mais nous sommes toujours dans cette région du Chaco qui connait des températures oscillant entre 18 et 52°c selon la saison.

Le soleil étant de la partie, nous avons mangé de la poussière une bonne partie de la journée et avons souffert de la chaleur.
C'est pour cela que nous avons trouvé refuge dans un hôtel pour la nuit, histoire de se refaire une santé.

Mais revenons sur la journée et ses obligations administratives.

Ce matin, 28 mai 9h00 formalités de sortie du territoire à Mariscal Estigarribia. 120 Km plus loin, La Patria où le policier d'hier nous confirme que tout est OK. Nous poursuivons donc vers Infante Rivarola et rencontrons le contrôle militaire. 7 km plus loin, c'est la frontière et la douane.






le douanier dans son hamac


























 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le douanier paraguayen se contente de récupérer le papier qui nous avait été remis à notre entrée sur le territoire et nous adresse à son voisin bolivien.
Si le premier est content de retrouver rapidement son hamac, (il faut dire que c'est l'heure de la sieste), le second a plus de réticence pour quitter sa pièce climatisée.





Après rappel de son homologue, il consent à venir établir les documents de transit temporaire.
Ceci fait, il repart se coucher tandis que nous reprenons la route vers Ibibobo, à 60 km et où se trouve le bureau de l'immigration bolivien.

Après 7 km nous avons droit au premier contrôle militaire bolivien mais c'est cool.



Arrivés à Ibibobo, nous avons quelques difficultés pour trouver le service immigration et pour cause.





Formalités faites, nous changeons quelques euros en bolivianos ce qui nous permet de boire un coup.




Sur le parking, un policier vient vérifier que tout est en règle et nous tamponne notre papier.

Direction le péage que nous avons vu à 150 m. Arrivés là, nouveaux contrôles (armée & service de l'hygiène). L'ambiance est bon enfant et les contrôleurs sont amusés par notre chargement eau, gazole, bouffe, cuisine, gaz, outillage etc...

Profitant de l'inspection, le chef contrôleur nous demande de lui donner une boite de sardines achetée au Paraguay, ce que nous faisons volontiers.

La route reprend, belle et rectiligne vers l'ouest puis d'un seul coup, c'est la fin de l'asphalte et une nouvelle piste, poussiéreuse à souhait, s'offre à nous pour une quarantaine de km avant de retrouver le goudron, la ville, Villa Montes, et l'hôtel.......

Prix du carburant pour les étrangers 9,46 B$ par litre.

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