lundi 13 janvier 2014

PN Santa Teresa


11 janvier

Après la lessive nous prenons la direction de la plage malgré une couverture nuageuse intermittente.






Au bout de 20mn de marche, nous voilà sur une plage de sable et l'entrée dans l'eau se fait plus difficilement que prévu. Après un courte période d'adaptation, nous profitons enfin de l'océan pour notre deuxième bain de l'année.
Bien que les conditions idéales ne soient pas réunies, nous sommes largement récompensés par la venue d'un trio de dauphins qui croisent à quelques brasses de nous.

Le temps du séchage du maillot est dévolu à la bronzette puis nous rejoignons le Land pour déjeuner.

Dans l'après midi le temps se dégradant, nous transformons le Land en position bureau et déployons le auvent arrière, la pluie menaçant de tomber.

Après quelques opérations de nettoiement et de dépoussiérage nous partons marcher à travers le parc après avoir remis pantalons, chaussures et coupe-vent.

Vers 20h, nous faisons halte au restaurant situé près de l'entrée du parc pour nous sustenter.
Le retour vers la zone de bivouac est une excellente promenade digestive d'autant que nous l'agrémentons de quelques exercices aux apparaux fitness qui équipent le parc comme partout ailleurs.


12 janvier

Nous reprenons nos promenades dans les forêts d'eucalyptus avec comme objectif final la visite de la « Fortaleza » Santa Teresa.
Comme il se doit, les horaires d'ouvertures ne correspondent pas à notre plan de marche, ce qui nous conduit à faire une boucle supplémentaire et à déjeuner, la forteresse n'ouvrant ses portes qu'à 13h.

C'est vers 14h30 que nous entreprenons la visite de cette fortification fort bien rénovée.







Evacuations des latrines






Latrines

Bloc latrines



A notre retour, après un petit goûter bien apprécié, nous nous attelons à la préparation du blog, au transfert des photo et à la préparation des futures étapes brésiliennes
En effet, dans une trentaine de km, l'Uruguay entrera au club des souvenirs.


Parfois on dirait qu’ils ont une grosse boufarde à la  bouche mais il n’en est rien. Au cours de nos promenades et de nos observations, nous avons dû nous rendre à l’évidence :  Le  Maté est une culture, quelque chose d’incontournable.
Au volant, dans la rue, au travail, dans les moments de détente ...

La preuve :









Jeunes,  adultes, vieux, hommes, femmes ... ils font tout avec thermos, bombillas et gobelet  

INCROYABLE MAIS VRAI.


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