lundi 3 février 2014

Mongagua, Praia Grande, etc...


31 janvier

Après une bonne douche, nous nous dirigeons vers la plage pour profiter de la brise marine.








Rapidement nous trouvons un kiosque. L'ambiance y est bonne et une sono de qualité diffuse tous les tubes des 5 dernières décennies voire plus.

Nous nous y attablons pour poursuivre notre réhydratation. Un groupe de personnes un peu plus bruyant que les autres s'est lancé dans une barbecue partie.





Remarquant notre isolement, le cuistot en chef vient déposer sur notre table une assiette contenant 2 côtelettes.





Après quelques minutes d'hésitation, nous nous mettons à les déguster de peur de froisser quelqu'un.

Les quelques amabilités hispano-portugaises que nous prononçons nous trahissent et bientôt tout le monde sait que nous sommes français.

Du coup, arrive Olga qui parle un peu français, nous présente Arlette, la patronne, et tient à ce que nous allions visiter ces 2 appartements.
Visiblement un peu alcoolisée, elle nous répétera sans cesse qu'elle aime la France, qu'elle veut parler français, qu'elle habite Le Havre pendant 6 mois de l'année et que son mari, français, est le directeur de la communication du port du Havre.

L'ambiance est chaleureuse et conviviale ce qui nous conduira à avaler encore quelques côtelettes avant de pouvoir nous éclipser.


La pizza pour 2 que nous avalons avant de rejoindre l'hôtel a du mal à passer d'autant que la chaleur dans la salle est insupportable.
Du coup, nous en abandonnons une bonne partie et rejoignons l'hôtel à la hâte.


1er février.

Malgré la chaleur et la relative inefficacité du brasseur d'air incapable de dissiper la chaleur que restitue la dalle béton du toit terrasse, la nuit a été bénéfique même s'íl a fallu recourir à la douche.

Pas de stress au lever, pas de route à faire, pas de problème cornélien à résoudre.

Après un petit déjeuner copieux, nous prenons la direction de Mongagua centre. Très vite nous trouvons un distributeur de billets opérationnel, un point d'information touristique, un cyber café
 et un lieu de restauration.

Vers l'Est, la forêt est à environ 300 m.



Vers l'ouest, locéan est derrière le kiosque à environ 400 m.


Résultat une ville de 30 km de long sur 1 de large en moyenne.




La routine du voyage reprend ses droits.





Après le repas nous reprenons notre visite et partons à la recherche de la vierge Nossa Senhora Aparecida




Ceci fait, nous reprenons le land pour suivre la route des plages mais voilà qu'un véhicule en panne nous en empêche. Malgré la poussée de l'équipage, le véhicule refuse de démarrer.
Une fois encore, le land et sa sangle seront le salut, même s'il aura fallu plusieurs tentatives.

La voie étant libre nous parcourons le boulevard de la plage sur plus de 20 km et opérons le retour par l'avenue Président Kennedy jusqu'au numéro 20 860 où se trouve notre hôtel.








Douche, piscine, douche et nous voilà à nouveau au kiosque pour y dîner



2 février

Armés du dépliant touristique récupéré hier, nous partons découvrir la passerelle de pêche, fierté de la région.
Celui-ci nous apprend qu'installée en 1977, la plate-forme,en forme de T s'avance de 400m dans la mer. Elle est considérée comme une des plus importantes plate-forme de pêche en béton armé du monde (sic)





Dépités face à un tel monument nous rejoignons le centre de Mongagua pour noyer notre chagrin et étancher notre soif chez Maria Morena qui propose pas moins de 160 purs jus de fruits servis en pichet de 0,8 l pour la modique somme de 2,5 euros.





Après une difficile flânerie








et un repas light nous rejoignons l´hôtel pour le triptyque habituel douche-piscine-douche avant d'aller dîner et passer une bonne nuit car demain l'étape nous conduira vers la mégapole de Sao Paulo.





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